mercredi 8 juin 2022

developping countries face the climate change

Developing countries face the climate change
Chaalal moulay
The Convention adopted in Rio in 1992 at the Earth Summit, aims to stabilize concentrations of greenhouse gases in the atmosphere at a level that prevents dangerous anthropogenic interference with the climate system, the Kyoto Protocol establishes of legally binding targets for emissions of developed countries. Algeria is a developing country, with large enough energy resources and major producer of oil and gas, two resources generating greenhouse gases. Even if the Kyoto Protocol contains no binding provisions for developing countries, including Algeria is a part, as it has no commitment to control GHG emissions, it has its own will participate in its implementation, the energy sector primarily affected by emissions made many investments to their reduction by the process of recycling of flared gas, which rose from 80% to 11% with a target of the total elimination in 2010, in addition to the detention of the carbon dioxide level in the fields. Notwithstanding its positive impact on the environment, this effort to reduce emissions, has failed to reap the benefits of the Kyoto Protocol, in fact, these efforts could be recovered economically, and this was an implementation of Kyoto Protocol mechanisms, making a carbon credits for financing projects under the Clean Development Mechanism (CDM), unfortunately no project has been made in this direction. The provisions of the Framework Convention on Climate Change and the Kyoto Protocol have been relatively respected on the regulatory and institutional, but despite the efforts, actions relating thereto are still very inadequate, particularly in developing renewable energy and control of energy consumption, waste management, and development of the use of clean fuels. Whereas the contribution in international efforts to fight against climate change is crucial, it remains the case, it is much more important for developing countries, particularly those dependent on fossil fuel to balance between environmental benefits and national economic development, this must involve finding a fair match to the appropriate use of energy in the service of development that protects the environment through sustainable development.

samedi 11 décembre 2021

جلة الثقافة الإسلامية
Volume 14, Numéro 2, Pages 81-92

أهمية الوقاية وأخلقة الحياة العامة في مكافحة الفساد

الكاتب : مولاي العربي شعلال .

الملخص

المقال باللغتين العربية والفرنسية، يعرف الفساد، ويدعو إلى مكافحته ومحاربته، والوقاية هو دور الهيئة الوطنية للوقاية من الفساد ومكافحته، ولكي نصل إلى إضفاء الطابع الأخلاقي على الحياة العامة، ينبغي على القطاعات ذات إمكانات التعبئة الواسعة، مثل الشؤون الدينية والتربية الوطنية والتعليم العالي والشباب والرياضة أن تدعم هذه الهيئة. ينبه المقال إلى خطر صمت الجميع أمام ما يعرض للمجتمع من خطر الفساد.

الكلمات المفتاحية

الفساد، الهيئة الوطنية للوقاية من الفساد ومكافحته،

مجلة محكمة نصف سنوية تعنى بقضايا الفكر والتراث الإسلامي"

L’importance de la moralisation de la vie publique dans la lute contre la corruption

« Si vous trouvez la prévention trop cher, attendez de

connaitre le prix destraitements. » Citation

La corruption, ce mal, mal identifié.

Définir la corruption, n’est pas chose aisée, cerner ses contours

l’est encore moins, du fait de son caractère occulte, de la multiplicité

de ses formes, et de la difficulté de son appréhension. C’est d’ailleurs

pour ces raisons que, ni la convention des nations unies contre la

corruption (CNUCC), ni la loi n°06.01 relative à la prévention et de

lutte contre la corruption, ne donnent une définition de la corruption,

mais se sont limités à incriminer un nombre d’actes, qu’ils qualifient

de faits de corruption.

Néanmoins, il existe plusieurs définitions de la corruption, mais

qui demeurent insuffisantes et générales.

Elle est ainsi définie juridiquement d’une manière sommaire,

comme étant l'utilisation abusive d'un pouvoir reçu par délégation à

des fins privées (transparency international) , Elle consiste, pour un

agent public, de s'abstenir de

faire, de faire, de faciliter quelque chose, du fait de sa fonction,

en échange d'une promesse, d'un cadeau, d'une somme d'argent ou

d'avantages divers.

Elle est active pour l'auteur de l'offre de promesse, et passive pour

celui qui, du fait de sa fonction, accepte ou sollicite cette offre.

En plus de cette définition juridique, la corruption est socialement

définie comme étant une transgression des règles morales,

religieuses et éthiques.

Aussi, et de par son incrimination pénale, la société la condamne

fermement et la perçoit comme un phénomène immoral et une

atteinte à ses valeurs fondatrices.

Lutte contre la corruption en Algérie : beaucoup d’efforts, peu de

- 58 -

"مجلة محكمة نصف سنوية تعنى بقضايا الفكر والتراث الإسلامي" 0202 16

résultats.

La lutte contre la corruption en Algérie, ne date pas de l’adoption

de la Convention des Nations Unies contre la corruption, mais

remonte aux premières années de l’indépendance, et ce par

l’incrimination pénale et l’aggravation des peines encourues en

matière de corruption.

De nombreuses réformes institutionnelles et juridiques ont été

engagées, pour renforcer les fondements de l’Etat de droit et asseoir

les principes de la bonne gouvernance à travers la consécration des

valeurs d’intégrité, de responsabilité et de transparence dans la vie

publique.

Cette volonté politique s’est traduite par l’insertion de ces

principes dans la Constitution de 2016.

L’une des mesures phare de ces réformes, reste, sans conteste la

promulgation de la loi n°06.01 du 20 février 2006 relative à la

prévention et à la lutte contre la corruption, qui représentait un gage

du respect de l’Algérie de ses engagements internationaux, pris à la

faveur de la ratification de la convention des nations unies contre la

corruption (convention de Merida) en 2004.

En plus de cette mesure, l’Algérie a veillé à la mise en place d’un

dispositif juridique et institutionnel de prévention et de lutte contre

la corruption et de promotion de pratiques efficaces et pérennes,

visant à sensibiliser, prévenir et réprimer tout acte de corruption.

Cependant, tous ces efforts, n’ont pas eu les effets escomptés,

bien au contraire la corruption est devenue ces dernières années un

mode de gouvernance, plus grave encore, la société est devenue plus

tolérante envers les pratiques corruptives, qui sont même justifiées

et assimilées à des pratiques sociales communes, la corruption s’est

érigée en valeur sociale, nourrie par l’amour de l’apparat et de

l’ostentation.

Cet échec est imputable en premier lieu à la politique laxiste et

d’impunité, mais aussi à la faiblesse et l’inefficacité des mesures

prise pour venir à bout de ce phénomène, et qui ne se présentaient

que comme réponses circonstancielles à des situations particulières

ou d’affaires qu’on ne pouvait dissimuler.

- 58 -

"مجلة محكمة نصف سنوية تعنى بقضايا الفكر والتراث الإسلامي" 0202 16

L’importance de la vie publique dans la lute contre la corruption

Le souvenir est encore vif, pour nous rappeler les campagnes

passées dont

l’objectif, n’était pas orienté vers l’éradication de la corruption,

mais était juste un subterfuge pour sortir d’une mauvaise posture

politique ou sociale, en offrant en spectacle à la vindicte populaire

des victimes expiatoires, à sacrifier sur l'autel d’une pseudo lutte

contre la corruption.

L’échec est aussi, en partie dû à l’absence de mesures préventives,

de l’éducation et de la sensibilisation contre les méfaits de ce mal,

qui sont par ailleurs, des remèdes très efficaces pour l’immunisation

de la société.

Bien que les années 2019 et 2020 ont été marquées par un éveil

de la lutte contre la corruption, et ce , par la traduction d’un nombre

considérable de hauts responsables et d’hommes d’affaires devant la

justice et leur condamnation par

de lourdes peines, il n’en demeure pas moins que cet éveil ,ne

suffit pas à lui seul d’endiguer ce fléau.

La prévention, rôle de l’Organe National de Prévention et de

Lutte Contre la Corruption.

La corruption n’est pas un phénomène temporel ou conjoncturel,

mais un

phénomène qui s’installe de façon durable et vicieuse dans tous

les domaines de l’activité sociale, économique et politique et se

niche dans toutes les

articulations de l’administration. Son endiguement n’est pas une

affaire qui se règle imminemment, mais demande du temps et du

travail, et qui ne serait possible que par la mise en oeuvre d’une

politique efficace de prévention, qui s’étale dans le temps et dont les

résultats ne seraient perceptibles que dans le moyen et le long terme.

La prévention, est un moyen de lutte proactif, constitué d’une

batterie de dispositions et mesures susceptibles d’empêcher

l’apparition, l’aggravation ou l’extension du phénomène de la

corruption.

Elle a l’avantage, de supprimer ou du moins de réduire, les

conditions et donc la probabilité de survenue des actes de corruption,

- 55 -

"مجلة محكمة نصف سنوية تعنى بقضايا الفكر والتراث الإسلامي" 0202 16

et d’augmenter la vigilance vis- à-vis du phénomène, en anticipant

les mesures permettant de mieux combattre ses conséquences, elle

réduit le besoin de sanction.

C’est dans cette logique que l’Organe National de Prévention et

de Lutte contre la Corruption, appréhende le combat contre la

corruption, et accorde du crédit aux mesures préventives, seules à

même de garantir l’atténuation de la

corruption, et qu’il traduit dans sa démarche depuis sa mise en

place, mais aussi dans la stratégie nationale de prévention et de lutte

contre la corruption à

laquelle il s’attèle.

L’organe a privilégié en premier lieu, la formation et la

sensibilisation en tant que mécanisme de prévention de la corruption,

en respect des dispositions de la Convention des Nations Unies

contre la corruption qui recommande

l’élaboration de programmes d'éducation et de formation au profit

des agents publics en leur assurant une formation spécialisée et

appropriée afin de les sensibiliser aux risques de corruption inhérents

à l'exercice de leurs fonctions.

Aussi la loi n ° 06-01 relative à la prévention et à la lutte contre

la corruption, a adopté la même approche, pour faire bénéficier les

agents publics d'une formation spécialisée, afin d’augmenter leur

prise de conscience des risques de corruption.

C’est à cette fin, que l’organe a élaboré un programme national

de formation et de sensibilisation contre la corruption, destiné aux

agents publics, en particulier ceux occupant des fonctions et postes

supérieurs, ainsi que les agents les plus exposés au risque de

corruption.

Quatre (4) ans après son lancement, ce programme a permis la

formation de

milliers d’agents publics tous secteurs confondus, et compte tenu

de l'expérience acquise dans le domaine de la formation et de la

sensibilisation, le programme a été réorienté vers les agents du

secteur économique, et à la formation des formateurs.

Additivement à cette démarche, l’organe a proposé dans le cadre

du projet de la stratégie nationale (20121/2025) une série de mesures

- 58 -

"مجلة محكمة نصف سنوية تعنى بقضايا الفكر والتراث الإسلامي" 0202 16

L’importance de la vie publique dans la lute contre la corruption

préventives, susceptibles de développer un environnement propice à̀

la promotion de la transparence publique, des libertés individuelles

et d’une justice équitable, pour une meilleure gestion des affaires

publiques et d’une réduction conséquente de la corruption.

L’importance de l’engagement des secteurs à fort potentiel

mobilisateur

Conscient de l’importance cruciale du rôle de certains secteurs

fort potentiel mobilisateur, et à influence morale, à l’instar du

ministère des affaires religieuses, de l’éducation nationale, du

ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche

scientifique, et celui de de la jeunesse et des sports, l’organe a obtenu

l’adhésion de ces derniers à sa démarche, qui s’est matérialisée par

la conclusion de conventions de coopération.

Ces conventions ont tenu compte des attributions de chaque

secteur, en adoptant des approches spécifiques au domaine de

prédilection de chacun d’eux.

Deux secteurs parmi ces derniers, méritent notre attention, du fait

de leur influence et leur capacité de mobilisation, il s’agit du secteur

de l’éducation nationale et du secteur des affaires religieuses.

La contribution de l'école dans la sensibilisation aux risques de

corruption et à ses effets néfastes sur l'individu et la société, est

cruciale dans le programme de prévention de la corruption.

C’est à ce titre que l’organe a conclu la convention avec le

ministère de

l’éducation nationale, dont l’objectif principal est de sensibiliser

les générations montantes aux principes et aux valeurs qui les

protégeront à l'avenir des méfaits de ce phénomène, tels que

l'honnêteté, la responsabilité et la transparence, dans les cadres de

programme de formation réguliers et pérennes au profit des élèves.

Ainsi, les notions de prévention et de sensibilisation contre la

corruption, sont intégrés dans les programmes des trois niveaux de

scolarité.

Aussi le secteur des affaires religieuses, s’est montré volontaire

pour adhérer à cette démarche, et ce, par la mobilisation des

capacités humaines et matérielles dont il dispose et de sa capacité de

faire passer le message à travers la multitude de tribunes dont il

- 89 -

"مجلة محكمة نصف سنوية تعنى بقضايا الفكر والتراث الإسلامي" 0202 16

dispose.

L’organe croit en le rôle des institutions religieuses dans

l'immunisation et la protection des citoyens contre ce fléau, en plus

de la promotion de la morale et des valeurs spirituelles, comme

vecteurs à la prise de conscience et à la sensibilisation aux risques

de corruption et de ses effets néfastes sur l'individu et la société.

Ainsi, est en vertu de la convention, le ministère des Affaires

religieuses, s’est engagé à oeuvrer à la promotion et à la diffusion des

concepts liés à l'éthique et à l’intégrité ; valeurs morales par

excellence, et à la sensibilisation aux dangers de la corruption dans

les différents espaces et par les supports disponibles.

Dans leur mission de promotion des principes et des valeurs, qui

protègent la société des dommages de la corruption, les institutions

religieuses devraient privilégier dans leur action, l’inculcation de la

culture du rejet de la corruption sous ses diverses formesaux

générations montantes etles éleverencon séquence.

Moralisation de la vie publique, nouveau Credo

La notion de « moralisation de la vie publique » se substitue

graduellement à la notion de lutte contre la corruption et devient un

credo, cette tendance de faire appel à la morale dans la gestion de la

chose publique, n’est qu’une prise de conscience de l’importance des

principes moraux ,de la vertu et de l’éthique pour regagner la

confiance du citoyen dans les institutions de sonEtat.

Cette voie semble être la voie privilégiée de la nouvelle direction

du pays ,c’est ce qui ressort de la lettre d’orientation du président de

la république à la commission chargée de la révision de la

constitution ,où un axe lui est consacré.

En effet, le deuxième axe de la lettre ,parle de moralisation de la

vie publique et de la lutte contre la corruption, qui passe par la mise

en place de mécanismes propres à éviter les conflits d'intérêts entre

l'exercice des responsabilités publiques et la gestion des affaires de

sorte à soustraire à l'influence de l'argent la gestion des affaires

publiques.

Le renforcement des mécanismes de prévention et de lutte contre

la corruption, y compris l’implication de la société civile dans cette

oeuvre de salubrité publique, sont fondamentaux dans cette voie.

- 89 -

"مجلة محكمة نصف سنوية تعنى بقضايا الفكر والتراث الإسلامي" 0202 16

الأمين العام للهيئة الوطنية لمكافحة الفساد السيد شعلال مولاي العربي

lundi 23 novembre 2020

محاور و إتجاهات / 19-09-2020



participation au debat televisé de la chaine TV A3"محاور اتجاهات" sur l'usage de l'argent sale dans la politique .
mots clés:corruption,chaalal moulay, 

dimanche 22 novembre 2020

شعلال مولاي العربي: نخطّط لمكافحة الفساد بالإجراءات وليس الشعارات - الإذاعة الجزائرية

شعلال مولاي العربي: نخطّط لمكافحة الفساد بالإجراءات وليس الشعارات - الإذاعة الجزائرية

 Participation au débat télévisé de la télévision A3,sur le rôle de la  société civile dans la lutte contre la corruption..





Participation au débat télévisé de la télévision A3,sur le rôle de la  société civile dans la lutte contre la corruption.



شعلال مولاي العربي: نخطّط لمكافحة الفساد بالإجراءات وليس الشعارات

قال شعلال مولاي العربي رئيس قسم التنسيق والتعاون الدولي بالهيئة الوطنية لمكافحة الفساد، هذا الاثنين، إنّ الرؤية التي تقوم عليها الهيئة هي جزائر جديدة مناهضة للفساد قائمة على مبادئ النزاهة والشفافية.

le 20.07.20

Passage à l’émission "invité de la matinée"ضيف الصباح"de la radio chaîne 1,avec Soumia Mansouri

vendredi 20 novembre 2020

Incredible India





MY TRAVEL BOOK TO INDIA



BY MOULAY CHAALAL

















I had the opportunity to visit India,this visit allowed me to discover a great country ,rich by 5000 years of history,culture,and ancestral values.

A country where culture echoes,tradition speaks,beauty enthrals and diversity delights.

I started my visit by New Delhi the capital of India and third country megacity.

Delhi and beyond what foreigners think of it,and despite the pollution,the crowd, the constant noise of automobile traffic ,the fog,and smells more or less attractive of animals and spices. remains a city of art and history,the visit of its sites and monuments, the approach of its citizens, give you the urge to discover it deeply.

some of its sites and touristic monuments,as the Red Fort, theNational Museum of India, India Gate, Qutab Minar,nizam udin dargah ,Jama Masjid,The Lotus Temple (Bahai Temple),the traditionnal markets are witnessing a rich civilization.

I had also the pleasure to visit Agra,from which i keep in memory the sympathetic namasté and traditionnal welcom with garlands

Agra is a city of the state of Uttar Pradesh , where stands majestically one of the seven wonders of the world;Taj Mahal the white pearl of india,a source of admiration.

It is a mausoleum built in 1648,by Mughal emperor Shah Jahan, who granted his wife's wish Mumtaz Mahal,it illustrates a wonderful love story.

the emperor chah jahan describes his masterpiece (chef d'oeuvre) as follows :

"Should guilty seek asylum here,
Like one pardoned,
he becomes free from sin.
Should a sinner make his way to this mansion,
All his past sins are to be washed away.
The sight of this mansion creates sorrowing sighs;
And the sun and the moon shed tears from their eyes.
In this world this edifice has been made;To display thereby
the creator's glory."

Agra fort which is the greatest fort in india,built in 1573 by Qasim Khan Mir Barr-u-Bahr .

Jaipur capital and largest city of Rajasthan, known as the pink city,which has some monuments of certain historical and touristic interset: the Hawa Mahal or Palace of Winds The Jantar Mantar The City Palace.

The Punjab and its capital Shandighart,city famous by rose garden and rock garden, but what struck me the most is my visit to himalya, or the altitude makes you feel as you touch the ceiling of the world, or the memory of the wonderful Shimla the state capital of Himachal Pradesh,which remains indelible in my memory.

We can not talk about India without mentioning the cuisine, whose odors and flavors accompanied me throughout my stay.
The unforgettable aroma of India which is the fragrance of spices so important to indian cooking especially to preparing curry.
The variety of indian cooking is immense,it is colorful and aromatic,it can be fiery or not as desired.
This cuisine is ranked the third most popular cuisine in the world.

India is also famous for its culture,it has cultural treasure,which comes from its rich history,india is seen as a land with a rich cultural heritage,and colorful folk culture and thriving.India is also famous for its culture,it has cultural treasure,which comes from its rich history,india is seen as a land with a rich cultural heritage,and colorful folk culture and thriving.

Indian culture is celebrated throughout the year without stop,every region ,every religion has some thing to celebrate,this is why the indian calendar is a long procession of festivals. Indian culture is celebrated throughout the year without stop,every region ,every religion has some thing to celebrate,this is why the indian calendar is a long procession of festivals.

Indian music includes multiple variety of folk,popular classical music.Indian music includes multiple variety of folk,popular classical music.

India's calssical music tradition,including carnaticand hundustani music has a history spanning millenia ,and developed over several eras,it remains fundamental to the lives of indians today as source of religious inspiration,cultural expression and pure intertainment.

Much of the music recalls indian fables and legends.

Also the charm of Indian dance, is to rank at the top of the world dances,by the nature of the gestures, and the beauty of movements.Also the charm of Indian dance, is to rank at the top of the world dances,by the nature of the gestures, and the beauty of movements.

But the thing that marked me the most is certainly the yoga, that I had the opportunity to learn and paratice with friends,under the guidance of a charming and beautiful teacher.But the thing that marked me the most is certainly the yoga, that I had the opportunity to learn and paratice with friends,under the guidance of a charming and beautiful teacher.
It is said that yoga is a gift from india to the world. 

Yoga enables us to achieve self realisation in systematic manner,by helping the union of the body and the mind ,and the mind with the soul,it creates the ultimate symphony of the life.
The body positions during different asanas ,help us to achieve our highest potential,and to experience enduring health and hapiness,and improve the quality of our lives.The body positions during different asanas ,help us to achieve our highest potential,and to experience enduring health and hapiness,and improve the quality of our lives.

India visit is like a trip through history,history which blends the beauty of soul and beauty of nature, a mixture of civilizations, cultures and religions.

Travel in India is like a beautiful dream,where is mixed reality with fiction,but the reverse is the reality that prevails over the imaginary.it was an adventure a rewarding experience

My trip to India gave me the opportunity to rub a people full of goodness, and wisdom, peaceful ,warm and generous .

it is not easy to describe in few words, a trip full of memories,to describe a fascinating country,which is really incredible as it is said there.


CHAALAL MOULAY .

samedi 24 octobre 2020

Sustainable developpment between promises and actions "Chaalal moulay



























Sustainable development is a development that meets the needs of the present without compromising the ability of future generations to meet their (brundtland commission).

Two concepts are inherent in this concept: the concept of [appropriate], especially the basic needs of the poor, who should be given the highest priority, and the idea of limitations imposed by the state of our techniques and social organization imposes on the ability of the environment to meet current and future.

It means to say a double solidarity:

• in space: every person on this earth has the same human right to land resources;

• in time: we have the right to use the resources of the earth but the duty to ensure their sustainability for generations to come (Intergenerational solidarity).


this concept well defended especially by those who benefit most from the common property of all humanity,hides a very different reality, here are some examples of equity and social justice that prevail in today's world:

20% of inhabitants living in the richest countries consume: 45% of animal protein in the world, 58% of energy (and emit 53% of CO2 released into the atmosphere), 84% of the paper.
have 88% of vehicles.

If per capita consumption increased by 6.1% per year in East Asia and 2% in South Asia, that of an average African household has declined by 20% in 25 years.
2.6 billion people are without sanitation, 2 billion live without electricity, 1.3 billion people lack access to safe drinking water, 1 billion lack proper housing, 880 million people are without access to health services and 840 million suffer from malnutrition. 22% of school-age children are not in school (109 million), 885 million people aged 15 and over are illiterate.

The 3 richest people in the world have a fortune greater than the GDP of 48 poorest countries. The world spends annually $ 780 billion for defense, 400 billion in drugs, 50 billion is the cost of cigarettes smoked per year in Europe, and 435 billion annual spending on advertising.

since 1950 , consumption of fossil fuels has increased fivefold, and CO2 emissions by four. These are very unevenly distributed: 20.5 tons per year per capita for the United States, 10.3 for Germany, 3.9 for Mexico, 2.7 for China, 1.6 for Brazil ...

Since 1970, the proportion of wooded areas increased from 11.4 km2 for 1000 to 7.3 km2. Deforestation affects mainly developing countries, and the loss of tropical forests is virtually irreversible.Some 12% of mammal species and 11% of bird species are threatened.

As a result of overgrazing and other improper practices, 9 million hectares of land is severely degraded, and 2 billion hectares, or one sixth of the land is moderately degraded.

vendredi 16 octobre 2020

Desertec,the sun of allah to the rescue of europe

Desertec, the sun of Allah to the rescue of Europe
CHAALAL MOULAY
translated by European Parliament
Recognizing the limits of its capabilities to meet the growing electricity demand of its people in the near future, Europe is beginning to worry about its energy security, and seems to have found the sesame, the magic solution to this problem. This emerges from the analysis of the Club of Rome, called Desertec, for which he was taken to the creation of a foundation under the same name. Based on the idea that humankind will need by 2050 three land to cover its resource requirements, and the deserts of the world receive 6 hours of solar energy than it consumes humanity in any one year, the initiators of Desertec plan to capture solar energy from deserts of MENA (Middle East and North Africa) and send it by submarine cables at the bottom of the Mediterranean to supply at least 15% of Europe’s needs for electricity without CO2 2050. For an investment of close to $ 500 billion. Desertec The project is promoted by the German Government, adopted by the European Union and supported by a few personalities and businessmen from Middle East and North Africa. They argue that the answer to a possible energy crisis lies in the need for cooperation between the desert countries, countries with energy needs, and countries with technical skills. Objective: To enable the completion of this project which seems at first glance based on a screenplay of science fiction. Described as chimeric and dreams of children by its critics, the project seems take the path, already with the creation of a consortium of German companies and the signing of a Memorandum of Understanding for the establishment of a consultancy Desertec responsible for the establishment of structures in charge of the project , development of business plans and seeking funding. The project’s originality lies in its consistency, and the means of its realization. Indeed it is the making of hundreds of generators, equipped with thousands of huge mirrors, which reflect sunlight to the giant towers filled with a heat transfer fluid. Once heated, it turns turbines to produce steam that it seems billions of watts of electrical energy to be finally carried by submarine cable and distributed to all countries of the European Union . Its proponents argue that they also plan to meet the demand of over 90% of the world’s population lives within 3000 kilometers of desert regions, because they believe that the necessary technologies already exist and have been tested. Desertec would, according to its promoters, the assurance of energy security in the countries of Europe, Middle East and North Africa. Prospects for growth and development for the latter, thanks to huge investments to be made, in addition to guaranteeing the future supply of drinking water in these arid countries, through the use of surplus energy in plants Desalination of seawater And as icing on the cake, reducing carbon emissions and thus contribute to international efforts against global warming. Concrete or utopian Desertec sows confusion in the scientific, economic, and environmental, as well as tested on a small scale, some scientists doubt the possibility of its success in large scale. For equip 40 million km2 of desert surfaces in solar thermal power plants have fields of parabolic collectors or collectors, and then transported under the sea of ​​billions of watts of electricity over thousands of miles of transmission lines with DC high tension, with all that equipment as it takes, is the scientific prowess. Economists for their part, question the economic efficiency of the project and believed that the production cost would deter more than ay join. Because given the exorbitant cost of the investment, estimated at over $ 500 billion (not including any fees that are grafted on the way), the kWh cost, with optimistic estimates, more than double the same kWh produced from fossil fuels. Moreover, nothing is certain about the cost of investment, even in the long term, due to extreme conditions of the desert, it seems, are not included in cost calculations production. This leaves a doubt about its economic viability. Some environmentalists argue against the project, although Greenpeace has joined from the beginning, and think that despite its advantages in reducing CO2 emissions in Europe, it has many inconveniences for the environment and can have dramatic consequences on the health of indigenous peoples. Besides its adverse effects on landscape aesthetics. European Skeptics, in turn, think that linking its energy security of countries considered, rightly or wrongly, unstable and volatile, would give the an opportunity for them to make them sing at the slightest jolt policy, and energy to defeat every mood swing of their leaders. The case of Russia with Ukraine on gas supplies, is a perfect example. Generating electricity from the sun is a noble idea in itself because it represents, at least for now, an appropriate solution to a shortage of fossil fuels in the years to come. But it remains to ask whether there is a real will to achieve it, according to the reasons and according to standards which respect the environment and the sovereignty of countries. Or conversely, whether it will happen according to standards that would meet ulterior motives, amid a war of technology leadership between Germany and France, by French nuclear energy and renewables German intermediaries. For their part, some thinkers in the South talk about a new concept that has emerged under the name of eco-colonialism. It is strongly defended by them, seeing this as an edition of colonialism in a green form softer. And they wonder whether it is fair to seek the comfort of Europeans in the desert, on account of the southern populations: a sort of “robbing Peter to pay Paul.” But what the most intriguing in this project, having been prepared in the absence of key players, namely producing countries. Because apart from the few personalities who have signed beliefs or personal interests, and whose act of accession does not in any way their country, no southern state has been associated with in a formal preparations for the project. As if preparing for a wedding without the groom, since the implementation of the project under international law, which can not be achieved without the voluntary participation of the various protagonists. Also, the voluntary blackout a more serious problem, namely the position of indigenous people, ancient owners of the desert, make legitimate question whether the project initiators have sought the advice of his past that bear only the negative consequences of the project, and would be completely transformed their natural environment. They actually represent the Gordian knot of the project and without them, the mirage Desertec will cause its promoters later in the vastness of the desert. Chaalal moulay

jeudi 15 octobre 2020

Desertec : un mirage européen dans le désert arabique

Après s’être chauffée au gaz du Sahara, l’Europe plonge dans les technologies du futur et veut s’éclairer écolo grâce au soleil du même Sahara. Consciente des limites de ses capacités pour pouvoir répondre à la demande croissante en électricité de ses populations dans un futur proche, l’Europe commence à s’inquièter de sa sécurité énergétique, et semble avoir trouvé le sésame ou la solution miracle à ce problème. C’est ce qui ressort de l’analyse du club de Rome, dénommée « Desertec », pour laquelle il a été procédé à la création d’une fondation sous le même nom. Partant de l’idée que l’humanité aura besoin d’ici 2050 de trois terres pour couvrir ses besoins en ressources, et que les déserts de la planète reçoivent en 6 heures plus d’énergie solaire que n’en consomme l’humanité en toute une année, les initiateurs de Desertec projettent de capturer l’énergie solaire à partir des déserts de la région MENA (Moyen-Orient et Nord Afrique) et de l’acheminer par câbles sous marins au fond de la Méditerranée pour fournir au moins 15 % des besoins de l’Europe en électricité sans CO2 d’ici 2050. Pour un investissement qui avoisinerait les 500 milliards de dollars.Le projet Desertec est promu par le gouvernement allemand, adopté par l’Union européenne, et soutenu par quelques personnalités et hommes d’affaires des pays du Moyen Orient et du Maghreb. Ceux-ci affirment que la réponse à une éventuelle crise énergétique réside dans la nécessité d’une coopération entre les pays désertiques, les pays ayant des besoins en énergie, et les pays possédant des compétences techniques. Objectif : permettre l’aboutissement de ce projet qui semble à première vue inspiré d’un scénario de film de science-fiction.Qualifié de chimérique et de rêve d’enfants par ses détracteurs, le projet semble bien prendre du chemin, avec déjà la création d’un consortium d’entreprises allemandes, et la signature d’un protocole d’accord pour la création d’un bureau d’études Desertec chargé de la mise en place des structures en charge du projet, l’élaboration des business plans et la recherche des financements.L’originalité du projet réside dans sa consistance, et les moyens de sa concrétisation. En effet il s’agit de la réalisation de centaines de groupes électrogènes, équipés de milliers d'énormes miroirs, qui réfléchissent la lumière solaire vers des tours géantes remplies d'un fluide calorifique. Une fois chauffé, celui-ci fait tourner des turbines à vapeur qui produiraient semble-t-il des milliards de watts d’énergie électrique pour être enfin acheminés par câble sous-marin et distribués à l’ensemble des pays de l’Union européenne. Ses initiateurs soutiennent qu’ils envisagent aussi de satisfaire la demande de plus de 90 % de la population mondiale qui habite à moins de 3 000 kilomètres des régions désertiques, car ils estiment que les technologies nécessaires existent déjà et ont été testées. Desertec permettrait, selon ses promoteurs, l’assurance de la sécurité énergétique dans les pays de l’Europe, du Moyen Orient et du Maghreb. Des perspectives de croissance et de développement pour ces derniers, grâce aux énormes investissements qui seront réalisés, en plus de la garantie du futur approvisionnement en eau potable dans ces pays à climat aride, grâce à l’utilisation du surplus d’énergie dans des usines de dessalement d’eau de mer. Et comme cerise sur le gâteau, une réduction des émissions de carbone et donc, une contribution aux efforts internationaux de lutte contre le réchauffement climatique. Concret ou utopique, Desertec sème la confusion dans les milieux scientifiques, économiques, et écologistes, car bien que testé à petite échelle, certains scientifiques doutent de la possibilité de sa réussite à grand échelle. Car équiper 40 millions de km2 des surfaces désertiques en centrales thermiques solaires dotées de champs de capteurs paraboliques ou de collecteurs, et transporter ensuite sous la mer des milliards de watts d’électricité sur des milliers de kilomètres, par lignes de transmission de courant continu haute tension, avec tout ce que cela demande comme équipements, relève de la prouesse scientifique. Les économistes pour leur part doutent de l’efficience économique du projet et estiment que le coût de production dissuaderait plus d’un a y adhérer. Car vu le coût exorbitant de l’investissement, estimé à plus de 500 milliards de dollars (sans compter tous les frais qui s’y greffent en cours de route), le kWh produit couterait, avec des estimations optimistes, plus du double du même kWh produit à partir de l’énergie fossile. De plus, rien n’est sûr quant à l’amortissement des investissements, même dans le long terme, en raison des conditions extrêmes du désert qui, semble-t-il, ne sont pas du tout prises en compte dans les calculs des coûts de production. Ce qui laisse un doute quant à sa viabilité économique. Certains écologistes plaident en défaveur du projet, même si Greenpeace y a adhéré dés le début, et pensent que, malgré ses avantages certains dans la réduction des émissions de CO2 en Europe, ce dernier recèle bien des désagréments à l’environnement et peut avoir des conséquences dramatiques sur la santé des populations autochtones. Sans compter ses effets néfastes sur l’esthétique des paysages. Les sceptiques européens, à leur tour, pensent que lier sa sécurité énergétiques à des pays considérés, à tort ou à raison, instables et versatiles, donnerait l’occasion à ces derniers de les faire chanter au moindre soubresaut politique, et les priveraient d’énergie à chaque saute d’humeur de leurs dirigeants. Le cas de la Russie avec l’Ukraine, en matière d’approvisionnement en gaz, en est l’illustration parfaite. Produire de l’énergie électrique à partir du soleil est une idée noble en soi, car elle représente, du moins pour le moment, une solution appropriée à une pénurie des énergies fossiles dans les années à venir. Mais il reste à se demander s’il existe une réelle volonté de la réaliser, conformément aux raisons invoquées et selon des normes respectueuses de l’environnement et de la souveraineté des pays du Sud. Ou au contraire, si elle va se réaliser selon des normes qui répondraient à des desseins inavoués, sur fond d’une guerre de leadership technologique entre l’Allemagne et la France, par énergie nucléaire française et énergies renouvelables allemandes interposées. Pour leur part, certains penseurs des pays du Sud parlent d’un nouveau concept qui a fait son apparition sous l’appellation d’éco-colonialisme. Celui-ci est fortement défendu par ces derniers, voyant dans ce projet une réédition du colonialisme sous une forme verte plus soft. Et ils se demandent s’il est juste d’aller chercher le confort des Européens dans le désert, sur le compte des populations du sud : une sorte de « déshabiller Pierre pour habiller Paul ». Mais ce qui intrigue le plus dans ce projet, c’est le fait d’avoir été préparé en l’absence des acteurs principaux, à savoir les pays producteurs. Car à part les quelques personnalités qui ont adhéré par convictions ou intérêts personnels, et dont l’acte d’adhésion n’engage en rien leurs pays, aucun Etat du Sud n’a été associé d’une manière officielle aux préparatifs du projet. Comme si on préparait un mariage sans le marié, car la mise en application du projet relève du droit international, qui ne peut se faire sans l’adhésion volontaire des différents protagonistes. Aussi, l’occultation volontaire d’un problème des plus sérieux, à savoir la position des population autochtones, propriétaires séculaires du désert, rendrait légitime la question de savoir si les initiateurs du projet ont sollicité l’avis de ses dernières qui supporteraient seules les conséquences néfastes du projet, et qui verraient leur milieu naturel entièrement transformé. Elles représentent en fait le nœud gordien du projet et, sans elles, le mirage Desertec va entraîner ses promoteurs loin dans l’immensité du désert.
CHAALAL MOULAY

samedi 3 octobre 2020

Developing countries and the reduction of GHG CHAALAL MOULAY Save humanity from the consequences of climate change, only by the reduced use of fossil fuels, is currently only a chimera, and a wishful thinking,advocated by the developed countries, but the reality is quite different. Indeed, what explanation given to recent unprecedented increases of oil prices (the current fall is due to the economic juncture), or a demand that is far more important than offer, and consequently a substantial increase in emissions of greenhouse gases, mainly due to intense industrial activity especially in industrialized countries including emerging countries like India and China.The only concentration stabilization at current rates would require a reduction of global emissions of about 60% from their current level, which level could not be reached, after years, and sacrifice, which will be done at the expense of developing countries, prompting them to reduce their development efforts in areas dependent on energy, such as transport, industry, electricity, heating and domestic refrigeration.This goal seems far from being achieved, because the efforts made by countries with a historical responsibility for global warming, are not up to the challenges. On the contrary, all their actions are consistent with the accentuation of the effects of this phenomenon.In addition to what other new energy is able to take over and replace fossil energy, the solar energy? That’s a dream out of reach for the moment. In effect deprive the world of this resource is equivalent to negate all forms of development induced by them. Yet is it not selfish and unfair on the part of developed countries? Having reached a considerable degree of development at the expense of land, to come today and ask emerging countries or developing countries not to use this energy in other words, they want to lean this responsibility to them, whereas there is evidence that their emissions are minimal if not insignificant compared to other countries like the United States, Canada and Europe.The contribution in international efforts to fight against climate change is crucial, but it is much more important to ask the EPI reconcile between environmental benefits and national economic development, which depends largely on fossil fuel, it must involve finding a fair match to the appropriate use of energy in the service of development that protects the environment.It is also important to assist and encourage them to support the efficient and clean use of fossil fuel, a renewable energy development; that developing countries have inexhaustible deposits.

ma photo

ma photo
au taj mahal ,INDIA